Quand le plus vieux métier du monde revendique ses droits"Nous
sommes des prostituéEs
: femmes et transpédégouines.
Le groupe Les-Putes a pour but de rassembler les travailleuSEs du sexe
au sein d’un groupe activiste qui vise à la reconnaissance
de nos intérêts et à l’aboutissement de nos revendications.
Notre mouvement est ouvert à touTEs les putes, quels que soient
notre origine, genre, orientation sexuelle, mode de travail, etc.
Nous récusons toutes les discriminations et formes de rejets.
Nous aimons notre métier, nous aimons nos clients : nous sommes
fièrEs d'être des Safe Sex Queens.
Nous ne vendons pas nos corps mais proposons des services sexuels,
c’est notre métier et nous le faisons bien : nous sommes des
professionnelLEs du sexe."
http://www.lesputes.org/
J'ai trouvé l'initiative sympa, hélas, sur le site le premier argument qu'on trouve c'est "non à la putophobie". Toujours et encore ce même délire indépassable. Philippe Muray appelait ça "la cage aux phobes". Quand parviendrons nous à dépasser ce degré zéro du discours?
Rédigé par : herve resse | 29 mars 2006 à 16:30
Excusez moi mais je ne partage pas cette vision, je ne veux empecher personne de faire ce qu'il a envie , là c'est sur, et ceux sont avant tout des femmes et des hommes et en cela le respect ou plutot mon mon respect leur est acquis de la meme maniere qu'a n'importe qui, seulement je ne pense pas que la prostitution soit un métier navrée, je crois que certaines femmes /hommes choisissent effectivement cette voie conscienmment ( et encore , bon..) mais pour toutes celles qui le subissent c'est de l'esclavagisme, alors oui il ya une demande , oui une économie, oui des gens qui gagnent leur vie, mais quelque chose qui peut tant détruire , j'y arrive pas désolée ( et c'est sincere) c'est pas juste !
Rédigé par : Ik | 29 mars 2006 à 18:32
Cher Hervé Resse,
Calmez vous nous allons bien. Le VRAI problème n'est pas la prostitution mais les conditions dans lesquelles nous l'exerçons.
L'esclavage est à combattre quelquesoit le métier, et la meilleure façon de le combattre est d'accorder un statut social et des droits aux travailleurs.
BISOUS.
Rédigé par : Zezetta Star | 15 avril 2006 à 23:09