Pierre Assouline parle du Goncourt, forcément de Houellebecq et termine sa note sur deux lignes qui ont déchaîné la blosgosphère littéraire :
"Quand les résultats sont tombés, Weyergans a appelé sa maman, et Houellebecq son chien. C'est toute la différence".
Effectivement...
Rédigé par : Cédric | 07 novembre 2005 à 08:55
So what ? Personne n'apprendra ici que Houellebecq ne se sépare jamais de son chien (la même race que ceux de la reine, mais si...).
Rédigé par : Jen | 07 novembre 2005 à 10:44
assouline pe s'étouffer dan son café houl et un chef d'oeuvre et weyer et un ami qu'on aimerai voir plus souvent il adore le cinéma et houlb fera de plate forme un film... on est loin de la famille laffont bonne lecture...
Rédigé par : pouni | 13 novembre 2005 à 15:08